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« Magie » : différence entre les versions

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({{ds}}, I, p.284<ref>[[NDE]] : Dans l'ancienne édition, I, p.260. Dans la version française, I, p.249</ref>)
({{ds}}, I, p.284<ref>[[NDE]] : Dans l'ancienne édition, I, p.260. Dans la version française, I, p.249</ref>)


({{isis}}, I, pp.25-27)
 
Saint Jérôme parle des Juifs de Tibériade et de Lydda comme des
seuls maîtres de la méthode mystique d'interprétation. Enfin, Ennemoser
exprime la ferme opinion que les écrits de Denis l'Aréopagite sont
visiblement fondés sur la Cabale juive. Si maintenant nous considérons
que les Gnostiques ou Chrétiens primitifs étaient les disciples des vieux
Esséniens, sous un nom nouveau, cela n'a rien de surprenant. Le professeur
Molitor rend justice à la Cabale en disant : "Le temps des inconséquences
et des légèretés est passé, en théologie comme en sciences, depuis que le
rationalisme n'a rien laissé derrière lui que son propre néant
révolutionnaire après avoir détruit tout ce qui est positif ; il semble
aujourd'hui qu'il soit temps d'étudier attentivement de nouveau la
mystérieuse révélation qui est la source vivifiante d'où le salut nous doit
venir,… les mystères de l'ancien Israël contiennent tous les secrets de
l'Israël moderne et sont particulièrement calculés pour… fournir des bases
à la théologie sur ses principes théosophiques les plus profonds et pour
asseoir solidement toutes les sciences idéales. Ils ouvriraient une nouvelle
route d'accès... au labyrinthe obscur des mythes, des mystères et
éclaireraient la constitution des nations primitives. Uniquement dans ces
traditions se trouve le système des écoles des prophètes : elles ne furent
pas fondées, mais seulement restaurées par le prophète Samuel. Son but
était d'amener les érudits à la sagesse et au haut savoir dès qu'ils auraient
été jugés dignes d'accéder à des mystères plus profonds. Parmi ces
mystères figurait la magie dont la [84] nature était double : la magie divine
et la magie mauvaise ou art noir. Chacune de ces branches est, à son tour,
divisée en deux classes : la magie active et la magie visuelle. Dans la
première, l'homme cherche à se mettre en rapport avec la nature, pour
apprendre les choses cachées ; dans la seconde, il s'efforce d'acquérir la
puissance sur les esprits. Dans l'une il a en vue de faire le bien et dans
l'autre d'accomplir toutes sortes d'actes diaboliques et contre nature" 90.
 
({{isis}}, I, pp.25-27<ref>[[NDE]] : Dans l'édition française, I, pp.83-84</ref>)
 


({{isis}}, I, p.138)
({{isis}}, I, p.138)
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