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« Sephiroth » : différence entre les versions

116 octets ajoutés ,  2 mars 2009
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De fait, la véritable signification du nom composé de Jehovah - duquel, sans la prononciation des voyelles, vous pouvez obtenir n'importe quoi - est : hommes et femmes, ou Humanité composée de ses deux sexes. Du premier chapitre à la fin du quatrième chapitre de la Genèse, chaque nom est une permutation d'un autre nom, et chaque personnage est à la fois quelqu'un d'autre. Un Kabbaliste trace Jehovah de l'Adam de la Terre à Seth, le troisième fils - ou plutôt race - d'Adam. <ref>Les Elohim crèent l'Adam de la poussière, et en lui Jehovah-Binah se sépare lui-même en Eve, après quoi la partie masculine de Dieu devient le Serpent, se tente lui-même en Eve, puis se crée lui-même en elle en tant que Caïn, passe en Seth, et s'éparpille d'Enoch, le Fils de l'Homme, ou l'Humanité, comme Yod-Havah. </ref> Ainsi Seth est Jehovah mâle ; et Enos, étant une permutation de Caïn et Abel, est Jehovah mâle et femelle, ou notre humanité. Le Brahmâ-Virâj Hindou, Virâj-Manu, et Manu-Vaivasvata, avec sa fille et femme, Vâch, présente la meilleure analogie avec ces personnages - pour quiconque prendra soin d'étudier le sujet à la fois dans la Bible et dans les Puranas. Il est dit de Brahmâ qu'il se créa comme Manu, et qu'il était né de, et était identique à, son soi originel, alors qu'il constituait la partie féminine "Śata-rupa" (aux-cent-formes). Dans cette Eve Hindou, "la mère de tous les êtres vivants", Brhma créa Viraj, qui est lui-même, but à un niveau inférieur, comme Caïn est Jehovah à un niveau inférieur : tous deux sont les premiers mâles de la Troisième Race. La même idée est illustrée dans le nom Hébreu de Dieu יהוה. En lisant de droite à gauche “Yôd” י est le père. “He” ה la mère, “Vau” ו le fils, et “He” ה , répété à la fin du mot, est la génération, l'acte de naissance, la matérialité. C'est sans nul doute une raison suffisante pour que le Dieu des Juifs et des Chrétiens soit personnel, autant que le mâle Brahmâ, Vishnou ou Śiva de l'Hindou orthodoxe, exotérique.  
De fait, la véritable signification du nom composé de Jehovah - duquel, sans la prononciation des voyelles, vous pouvez obtenir n'importe quoi - est : hommes et femmes, ou Humanité composée de ses deux sexes. Du premier chapitre à la fin du quatrième chapitre de la Genèse, chaque nom est une permutation d'un autre nom, et chaque personnage est à la fois quelqu'un d'autre. Un Kabbaliste trace Jehovah de l'Adam de la Terre à Seth, le troisième fils - ou plutôt race - d'Adam. <ref>Les Elohim crèent l'Adam de la poussière, et en lui Jehovah-Binah se sépare lui-même en Eve, après quoi la partie masculine de Dieu devient le Serpent, se tente lui-même en Eve, puis se crée lui-même en elle en tant que Caïn, passe en Seth, et s'éparpille d'Enoch, le Fils de l'Homme, ou l'Humanité, comme Yod-Havah. </ref> Ainsi Seth est Jehovah mâle ; et Enos, étant une permutation de Caïn et Abel, est Jehovah mâle et femelle, ou notre humanité. Le Brahmâ-Virâj Hindou, Virâj-Manu, et Manu-Vaivasvata, avec sa fille et femme, Vâch, présente la meilleure analogie avec ces personnages - pour quiconque prendra soin d'étudier le sujet à la fois dans la Bible et dans les Puranas. Il est dit de Brahmâ qu'il se créa comme Manu, et qu'il était né de, et était identique à, son soi originel, alors qu'il constituait la partie féminine "Śata-rupa" (aux-cent-formes). Dans cette Eve Hindou, "la mère de tous les êtres vivants", Brhma créa Viraj, qui est lui-même, but à un niveau inférieur, comme Caïn est Jehovah à un niveau inférieur : tous deux sont les premiers mâles de la Troisième Race. La même idée est illustrée dans le nom Hébreu de Dieu יהוה. En lisant de droite à gauche “Yôd” י est le père. “He” ה la mère, “Vau” ו le fils, et “He” ה , répété à la fin du mot, est la génération, l'acte de naissance, la matérialité. C'est sans nul doute une raison suffisante pour que le Dieu des Juifs et des Chrétiens soit personnel, autant que le mâle Brahmâ, Vishnou ou Śiva de l'Hindou orthodoxe, exotérique.  


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Ainsi le terme de Yhvh seul - maintenant accepté comme le nom du "Dieu [mâle] vivant Unique" - donnera, à condition d'être étudié sérieusement, non seulement le mystère entier de l'Etre (dans le sens Biblique), mais aussi celui de la Théogonie Occulte, de l'Etre le plus hautement divin, le troisième dans l'ordre, en descendant jusqu'à l'homme. Comme il est montré par les meilleurs Hébraïstes :


היה ou Hâyâh, ou E-y-e, signifie être, exister, alors que חיה Châyâh, ou H-y-e<ref>[[NDE]] : Dans les ''[[Collected Writings]]'' qui ont été numérisés, Châyâh et H-y-e n'apparaissent pas : Hâyâh et E-y-e apparaissent deux fois dans cette phrase. Pourtant, si on regarde l'impression d'origine de l'ouvrage dont est tiré ce texte, "''Occultism of the Secret Doctrine''" (1897), ce sont bien Châyâh et H-y-e qui apparaissent dans le cours du texte. Par ailleurs, les deux caractères hébreux numérisés dans les "''Collected Writings''" sont bien Hé ה et Heith ח, qui peuvent être transcrits par E et H respectivement. Rétablir cette subtilité entre Hâyâh et Châyâh - en prononçant le "''Ch''" comme un "''H''" guttural à la façon allemande - semble redonner ainsi à la phrase son sens originel d'une comparaison des deux termes ''Hâyâh'' et ''Châyâh''. </ref> signifie vivre, en tant que mouvement de l'existence. <ref>The Source of Measures, p. 8.</ref>


Thus the term of Yhvh alone—now accepted as the name of “One living [male] God”—will yield, if seriously studied, not only the whole mystery of Being (in the Biblical sense), but also that of the Occult Theogony, from the highest divine Being, the third in order, down to man. As shown by the best Hebraists:
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היה or Hâyâh, or E-y-e, means to be, to exist, while חיה Châyâh, or H-y-e<ref>[[NDE]] : Dans les ''[[Collected Writings]]'' qui ont été numérisés, Châyâh et H-y-e n'apparaissent pas : Hâyâh et E-y-e apparaissent deux fois dans cette phrase. Pourtant, si on regarde l'impression d'origine de l'ouvrage dont est tiré ce texte, "''Occultism of the Secret Doctrine''" (1897), ce sont bien Châyâh et H-y-e qui apparaissent dans le cours du texte. Par ailleurs, les deux caractères hébreux numérisés dans les "''Collected Writings''" sont bien Hé ה et Heith ח, qui peuvent être transcrits par E et H respectivement. Rétablir cette subtilité entre Hâyâh et Châyâh - en prononçant le "''Ch''" comme un "''H''" guttural à la façon allemande - semble redonner ainsi à la phrase son sens originel d'une comparaison des deux termes ''Hâyâh'' et ''Châyâh''. </ref> means to live, as motion of existence. <ref>The Source of Measures, p. 8.</ref>


Hence Eve stands as the evolution and the never-ceasing “becoming” of Nature. Now if we take the almost untranslatable Sanskrit word Sat, which means the quintessence of absolute immutable Being, or Be-ness—as it has been rendered by an able Hindu Occultist—we shall find no equivalent for it in any language; but it may be regarded as most closely resembling “Ain,” or “Ain-Soph,” Boundless Being. Then the term Hâyâh, “to be,” as passive, changeless, yet manifested existence may perhaps be rendered by the Sanskrit Jîvâtman, universal life or soul, in its secondary or cosmic meaning; while “Hâyâh,” “to live,” as “motion of existence,” is simply Prana, the ever-changing life in its objective sense. It is at the head of this third category that the Occultist finds Jehovah—the Mother, Binah, and the Father, Arelim. This is made plain in the Zohar, when the emanation and evolution of the Sephirôth are explained: First, Ain-Soph, then Shekhinah, the Garment or Veil of Infinite Light, then Sephîrah or the Kadmon, and, thus making the fourth, the spiritual Substance sent forth from the Infinite Light. This Sephîrah is called the Crown, Kether, and has besides, six other names—in all seven. These names are: 1. Kether; 2. the Aged; 3. the Primordial Point; 4. the White Head; 5. the Long Face; 6. the Inscrutable Height; and 7. Eheyeh (“I am”).<ref>This identifies Sephirah, the third potency, with Jehovah the Lord, who says to Moses out of the burning bush: “(Here) I am” (Exodus iii, 4). At this time the “Lord” had not yet become Jehovah. It was not the one male God who spoke, but the Elohim manifested, or the Sephiroth in their manifested collectivity of seven, contained in the triple Sephirah.</ref> This Septenary Sephîrah is said to contain in itself the nine Sephirôth. But before showing how she brought them forth, let us read an explanation about the Sephirth in the Talmud, which gives it as an archaic tradition, or Kabalah.
Hence Eve stands as the evolution and the never-ceasing “becoming” of Nature. Now if we take the almost untranslatable Sanskrit word Sat, which means the quintessence of absolute immutable Being, or Be-ness—as it has been rendered by an able Hindu Occultist—we shall find no equivalent for it in any language; but it may be regarded as most closely resembling “Ain,” or “Ain-Soph,” Boundless Being. Then the term Hâyâh, “to be,” as passive, changeless, yet manifested existence may perhaps be rendered by the Sanskrit Jîvâtman, universal life or soul, in its secondary or cosmic meaning; while “Hâyâh,” “to live,” as “motion of existence,” is simply Prana, the ever-changing life in its objective sense. It is at the head of this third category that the Occultist finds Jehovah—the Mother, Binah, and the Father, Arelim. This is made plain in the Zohar, when the emanation and evolution of the Sephirôth are explained: First, Ain-Soph, then Shekhinah, the Garment or Veil of Infinite Light, then Sephîrah or the Kadmon, and, thus making the fourth, the spiritual Substance sent forth from the Infinite Light. This Sephîrah is called the Crown, Kether, and has besides, six other names—in all seven. These names are: 1. Kether; 2. the Aged; 3. the Primordial Point; 4. the White Head; 5. the Long Face; 6. the Inscrutable Height; and 7. Eheyeh (“I am”).<ref>This identifies Sephirah, the third potency, with Jehovah the Lord, who says to Moses out of the burning bush: “(Here) I am” (Exodus iii, 4). At this time the “Lord” had not yet become Jehovah. It was not the one male God who spoke, but the Elohim manifested, or the Sephiroth in their manifested collectivity of seven, contained in the triple Sephirah.</ref> This Septenary Sephîrah is said to contain in itself the nine Sephirôth. But before showing how she brought them forth, let us read an explanation about the Sephirth in the Talmud, which gives it as an archaic tradition, or Kabalah.
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