« Feu Cosmique » : différence entre les versions

Lunaire ne sont compréhensibles qu'avec la connaissance de l'[[Esotérisme]].

"Fils du Feu", etc., [[Shankarâchârya]], le plus grand des [[Maîtres]] Esotériques

de l'Inde, dit que le Feu signifie une divinité qui préside au Temps ([[Kâla]]).

Le savant traducteur de la ''[[Bhagavad-Gitâ]]'', ''Kashinâth Trimbak Télang M.A.'', de Bombay, avoue qu'il n'a "aucune idée claire de la signification de ces versets". Il en va tout autrement pour qui connaît la doctrine [[Occulte]].

Ces versets se rapportent au sens mystique des symboles solaires et lunaires. Les [[Pitris]] sont des divinités [[Lunaires]] et nos Ancêtres parce qu'ils créèrent l'homme physique. Les [[Agnishvattas]], les [[Kumâras]] (les Sept Sages Mystiques), sont des Divinités [[Solaires]], quoiqu'ils soient aussi des Pitris mais ils sont les "Façonneurs de l'Homme interne". Ce sont les "''Fils du Feu''", parce qu'ils sont les premiers Etres auxquels la DOCTRINE SECRETE donne le nom de "[[Mental]]" évolués du Feu Primordial. "Le Seigneur... est un feu qui consume"<ref>''[[Deutéronome]]'', IV, 24.</ref>. "Le Seigneur [[[Christ]]] sera révélé...

avec ses anges puissants, dans un feu ardent"<ref>''[[Thess]]'' : II, 7, 8.</ref>. Le [[Saint-Esprit]] descendit

sur les Apôtres en forme de "langues de feu<ref>''[[Actes]]'', II, 3.</ref>" ; [[Vishnou]] reviendra sur

[[Kalki]], le Cheval Blanc, comme dernier [[Avatâr]], au milieu du feu et des

flammes et [[Sosiosh]] descendra aussi sur un Cheval Blanc, dans "un ouragan de feu". "Et je vis le ciel qui s'ouvrit, et alors apparut (au

le Verbe de Dieu<ref>''[[Apocalypse]]'', XIX, 11 et 13.</ref>." Le Feu est l'[[Æther]] dans sa forme la plus pure et, par

conséquent, on ne le considère pas comme [[matière]] ; il est l'Unité de

a deux "Feux" et on sait les distinguer dans les enseignements [[Occultes]].

Feu du [[Kosmos]] Manifesté est [[Septénaire]], dans toute l'étendue de l'Univers

sept sens, symbolisés comme des [[Hôtris]] ou Prêtres, [[Nârada]] dit, dans

''[[Anugïta]]'' : "Ainsi ces sept [sens : l'odorat, le goût, la couleur, le son, etc.],

de qualités"] doit signifier le soi, et non pas le [[Brâhmana]] qui parle<ref>Traduction de Telang, ''Sacred Books of the East'', VIII, 278.</ref>."

§ 4. – [[Fohat]] trace des lignes spirales pour unir le Sixième

Lumière se tient à chaque angle ; Les [[Lipika]] dans

Alors l' "[[Arûpa]] Divin" <ref>L'Univers sans Forme de la Pensée.</ref> se réfléchit dans le [[Chhâyâ]]

[[Lôka]]<ref>Le Monde des Ombres de la Forme Première, au monde Intellectuel.</ref>, le Premier Vêtement d'[[Anupâdaka]] (c).</blockquote>

l'Homme ([[Buddhi]], l'Ame Divine), quoiqu'un simple souffle dans nos

l'Esprit Divin ([[Atmâ]]) dont il est le porteur ou véhicule. [[Fohat]], dans sa

capacité D'AMOUR DIVIN ([[Eros]]), le pouvoir électrique d'affinité et de

pur, le Rayon inséparable de l'UN Absolu, avec l'[[Ame]], pour faire des

deux, dans l'homme, la [[MONADE]], et dans la Nature, le premier lien entre

Second [Monde]" – des [[Lipika]] – se rapporte à la même idée.

([[Dhyân Chôhans]]) chargés de guider chacune des régions et à veiller sur

elle, du commencement à la fin d'un [[Manvantara]]. Ce sont les "Veilleurs

Mystiques" des [[Kabalistes]] et des [[Alchimistes]] chrétiens et ils se rapportent,

d' "[[Anges]]" qu'il peut représenter. C'est là que se trouve le nœud dans l'étude de la symbologie, nœud impossible à défaire pour beaucoup

vraiment pas être numéroté ou regardé comme tel, car ce Premier

Monde de Vérité, ou [[Sat]], à travers lequel l'énergie directe qui rayonne de

avec elle, mais en tant que manifestations, c'est pourtant [[Mâyâ]] –

l'Eternité : le phare d'espérance, aux [[Sept Rayons]] duquel sont suspendus

l'[[Atmâ]], ou Esprit radieux de toute créature appartenant à la famille

humaine. Il y a d'abord cette Lumière [[Septénaire]] puis le "Monde Divin" –

[[Buddhis]], ou Ames divines sans formes, du dernier des Mondes [[Aroûpiques]]

<blockquote>– "Lève la tête, ô [[Lanou]] : vois-tu une lumière ou des

Flamme, ô [[Gurudeva]]. Je vois des milliers d'étincelles

composés de la Nature – de l'étoile à l'atome minéral, du [[Dhyân Chôhan]] le

sans bornes et infinie", dit un axiome [[Occulte]], et c'est de là que

vient, comme nous l'avons déjà dit, le nom de [[Brahmâ]]<ref>Dans le ''[[Rig Véda]]'', nous trouvons les noms [[Brahmanaspati]] et [[Brihaspati]] alternants et synonymes. Voir aussi ''[[Brihaddranyaka Upanishad]]'' ; [[Brihaspiti]] est une Divinité appelée "Père des Dieux".</ref>, tiré de ''Brih'', s'étendre ou croître.