« Ardhanârishvara » : différence entre les versions

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Ce double nombre <ref>[[NDE]] : le nombre [[10]].</ref>– mâle et femelle – est symbolisé aussi par quelques idoles bien connues ; par exemple :
<blockquote>'''Ardhanâri-Ishvara''', l'[[Isis]] des Hindous, [[Eridanus]] ou [[Ardan]], ou le [[Jourdain]] des [[Hébreux]], ou source de la descente. Elle se tient sur une feuille de [[lotus]] flottant sur l'eau. Mais cela signifie... qu'elle est androgyne ou hermaphrodite, c'est-à-dire le phallus et le [[yoni]] combinés, le nombre [[10]], la lettre hébraïque [[Yod]] [י] le contenu de [[Jéhovah]]. Elle, ou plutôt elle-il, [donne] les minutes du même cercle de [[360]] degrés <ref>''The key to the Hebrew-Egyptian Mystery in the Source of Measures'' de [[Ralson Skinner]], Manuscrit pp.23-24</ref>.</blockquote>
"[[Jéhovah]]", sous son meilleur aspect, est [[Binah]] la "Mère Supérieure médiatrice, la Grande Mer ou le [[Saint-Esprit]]" et, par conséquent, plutôt un synonyme de [[Marie]], Mère de [[Jésus]], que de son Père ; cette "Mère qui est le mot latin Mare", la Mer, est ici aussi [[Vénus]], la ''Stella del Mare'' ou "l'Etoile de la Mer".
({{ds}}, II, pp.112-113)
== Notes et références ==
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Version du 31 janvier 2008 à 17:45

Ardhanariśvara ou Ardhanarishvara, du sanscrit. Littéralement, "le Seigneur bisexué". Esotériquement les états non-polarisés de l'énergie cosmique symbolisée par les Séphiroth cabalistiques, Adam Kadmon, etc...

(source : "Glossaire Théosophique" d'Héléna Blavatsky)




Ce double nombre [1]– mâle et femelle – est symbolisé aussi par quelques idoles bien connues ; par exemple :

Ardhanâri-Ishvara, l'Isis des Hindous, Eridanus ou Ardan, ou le Jourdain des Hébreux, ou source de la descente. Elle se tient sur une feuille de lotus flottant sur l'eau. Mais cela signifie... qu'elle est androgyne ou hermaphrodite, c'est-à-dire le phallus et le yoni combinés, le nombre 10, la lettre hébraïque Yod [י] le contenu de Jéhovah. Elle, ou plutôt elle-il, [donne] les minutes du même cercle de 360 degrés [2].

"Jéhovah", sous son meilleur aspect, est Binah la "Mère Supérieure médiatrice, la Grande Mer ou le Saint-Esprit" et, par conséquent, plutôt un synonyme de Marie, Mère de Jésus, que de son Père ; cette "Mère qui est le mot latin Mare", la Mer, est ici aussi Vénus, la Stella del Mare ou "l'Etoile de la Mer".

(source : "La Doctrine Secrète" d'Héléna Blavatsky, II, pp.112-113)


Notes et références

  1. NDE : le nombre 10.
  2. The key to the Hebrew-Egyptian Mystery in the Source of Measures de Ralson Skinner, Manuscrit pp.23-24