Thummim : Différence entre versions

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# sur chacune des [[douze]] pierres précieuses était gravé le nom de l'un des douze fils de [[Jacob]], chacun de ces fils jouant le rôle d'un des [[signes]] du [[zodiaque]] ;  
 
# sur chacune des [[douze]] pierres précieuses était gravé le nom de l'un des douze fils de [[Jacob]], chacun de ces fils jouant le rôle d'un des [[signes]] du [[zodiaque]] ;  
 
 
# ces [[deux]] (Thummirri et Urim) étaient des images oraculaires, comme les [[teraphim]], et énonçaient les oracles au moyen d'une voix, et tous deux étaient des agents d'[[hypnotisation]] et jetaient les prêtres qui les portaient dans une condition extatique.  
 
# ces [[deux]] (Thummirri et Urim) étaient des images oraculaires, comme les [[teraphim]], et énonçaient les oracles au moyen d'une voix, et tous deux étaient des agents d'[[hypnotisation]] et jetaient les prêtres qui les portaient dans une condition extatique.  
  

Version du 21 janvier 2008 à 17:08

Thummim, de l'hébreu. Similaire à l'égyptien Thme (pluriel : Thmin). "Perfections". Un ornement qui figurait sur les pectoraux des anciens Grands Prêtres du Judaïsme. Les rabbins modernes et les hébraïsants peuvent bien prétendre ne pas connaître les buts communs des Thummim et des Urim ; mais les Cabalistes les connaissent et les occultistes pareillement. C'étaient des instruments de divination magique et de communication théurgique et astrologique par les oracles. Ceci est démontré par les faits suivants bien connus : –

  1. sur chacune des douze pierres précieuses était gravé le nom de l'un des douze fils de Jacob, chacun de ces fils jouant le rôle d'un des signes du zodiaque ;
  2. ces deux (Thummirri et Urim) étaient des images oraculaires, comme les teraphim, et énonçaient les oracles au moyen d'une voix, et tous deux étaient des agents d'hypnotisation et jetaient les prêtres qui les portaient dans une condition extatique.

Les Urim et les Thummim n'étaient pas originellement hébreux, mais avaient été empruntés, comme la plupart de leurs autres rites religieux, aux Egyptiens, chez qui les scarabées mystiques, portés sur la poitrine par les hiérophantes, avaient les mêmes fonctions. C'étaient ainsi des modes de divination purement païens et magiques, et lorsqu'on demande au "Seigneur Dieu" juif, de manifester sa présence et d'énoncer sa volonté par les Urim, au moyen d'incantations préliminaires, le modus operandi était le même que celui utilisé par tous les prêtres gentils du monde entier.

Voir aussi