« 108 » : différence entre les versions

2 700 octets ajoutés ,  13 avril 2009
aucun résumé des modifications
(Nouvelle page : '''108''', le nombre '''cent-huit'''. {{nombres}} {{k}})
 
Aucun résumé des modifications
Ligne 1 : Ligne 1 :
'''108''', le [[nombre]] '''cent-huit'''.  
'''108''', le [[nombre]] '''cent-huit'''.  
Il est excessivement étrange, si ce n'est qu'une simple coïncidence, que la valeur numérique de Tohu-vah-bohu, ou du "Chaos", dans la Bible – lequel Chaos est, bien entendu, la "Mère" Abîme, ou les Eaux de l'Espace – donne les mêmes chiffres. En effet, voici ce qu'on découvre dans un manuscrit cabalistique :
<blockquote>Au sujet des Cieux et de la Terre, il est dit dans le second verset de la Genèse qu'ils étaient "Chaos et Confusion", c'est-à-dire qu'ils étaient "Tohu-vah-bohu" et que "les ténèbres régnaient sur la surface de l'abîme", c'est-à-dire que "la matière parfaite qui devait servir à édifier la construction manquait d'organisation". L'ordre des chiffres de ces mots, tels qu'ils se trouvent – c'est-à-dire <ref>Ou bien, si vous lisez de droite à gauche, les lettres et leurs nombres correspondants donnent : "t", 4 , "hs", 5 ; "bh", 2 ; "v", 6 ; "v", 6 ; "h", 5 ; "v" ou "w", 6 ; ce qui fait "Thuvbhu", 4566256 ou "Tohu-vah-bohu".</ref> les lettres représentées par leur valeur numérique – est 6.526.654 et 2.386. Dans l'art de la parole, ce sont des nombres clefs négligemment mêlés ensemble, ce sont les germes et les clefs de la construction, qui ne doivent être reconnus qu'un à un, au fur et à mesure qu'on les emploie. Ils suivent symétriquement l'oeuvre, comme suivant immédiatement la première phrase de la grande énonciation : "En Rash se développèrent des Dieux, les cieux et la terre".<br /><br />
Multipliez entre eux les nombres des lettres de "Tohu-vah-bohu", d'une façon continue, de droite à gauche, en inscrivant au fur et à mesure les simples produits et nous aurons la série suivante de valeurs, à savoir :<br /><br />
(a) 30, 60, 360, 2.160, 10.800, 43.200 ou, avec les chiffres caractéristiques, 3, 6, 36, 216, 108 et 432 ;<br />
(b) 20, 120, 720, 1.440, 7.200, ou, 2, 12, 72, 144, 72, 432, la série se terminant par 432, un des plus fameux nombres de l'antiquité, qui, bien qu'obscurci, apparaît dans la chronologie jusqu'au Déluge. <ref>Manuscrits de M. Ralston Skinner.</ref> </blockquote>
Cela prouve que la coutume des Hébreux de jouer sur les nombres doit être venue de l'Inde aux Juifs. Comme nous l'avons vue, la série finale donne, outre de nombreuses autres combinaisons, les nombres 108 et 1008 – le nombre des noms de Vishnou, d'où viennent les 108 grains du rosaire du Yogî – et se termine par 432, le nombre véritablement "fameux" dans l'antiquité Indienne et Chaldéenne, qui apparaît dans le cycle de 4 320 000 ans de la première, et dans la durée de 432 000 ans des dynasties divines Chaldéennes.
({{ds}}, pp.257-258)
== Notes et références ==
{{references}}


{{nombres}}
{{nombres}}


{{k}}
{{k}}
14 365

modifications