Règne minéral

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Règne minéral.

Influences Le septième rayon d'organisation et le premier rayon de pouvoir sont les facteurs dominants.
Résultats Les résultats évolutionnaires sont : la radiation et la puissance ; une puissance statique soutenant tout le restant du schéma de la nature.
Procédé La condensation.
Secret La transmutation, que le Traité sur le Feu Cosmique définit de la façon suivante : "La transmutation est le passage d'un état d'être à un autre, au moyen du feu."
Dessein Démontrer la radioactivité de la vie.
Divisions Métaux communs, métaux rares et pierres précieuses.
Agent objectif Le Feu. Le Feu est le facteur initiateur dans ce règne.
Agent subjectif Le Son.
Qualité Extrême densité. Inertie. Brillant.


(source : "Traité sur les Sept Rayons - Psychologie Esotérique I" d'Alice Bailey, p.223)


Relation entre les règnes


Tous les aspects des trois règnes sub-humains – les règnes animal, végétal et minéral – se trouvent dans l'homme. Leur synthèse, à laquelle vient s'ajouter un facteur nouveau, L'intellect divin, constitue ce que nous appelons le règne humain. L'homme unifie en lui-même ce que l'on appelle les manifestations inférieures de la divinité. Nous trouvons, dans les règnes sub-humains de la nature, trois grands types de conscience : le règne minéral, avec son pouvoir de discrimination subjective, sa capacité de croissance et, pour finir sa radioactivité ; le règne végétal, avec sa sensibilité ou sensorialité et son appareil responsif en train de se développer, qui réagit au soleil, à la chaleur et au froid, ainsi qu'aux autres conditions climatiques environnantes ; le règne animal, avec sa conscience considérablement accrue, sa liberté de mouvement et sa capacité d'établir des contacts plus larges par l'entremise de sa nature instinctive. Le règne humain est l'intégration de ces trois types de conscience – la conscience proprement dite, la sensibilité et l'instinct – plus cette mystérieuse faculté que nous appelons "mentale", et nous totalisons toutes ces qualités, dans le mot "conscience de soi".


(source : "De Bethléem au Calvaire" d'Alice Bailey, p.94)