Corps physique

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Corps physique.

Le corps physique dense est la somme totale de tous les organismes qui le composent. Ceux-ci possèdent les fonctions variées qui permettent à l'âme de s'exprimer sur le plan physique ou objectif en tant que partie d'un organisme plus grand et plus inclusif. Le corps physique est l'appareil de réponse de l'homme spirituel qui l'habite. Il sert à mettre cette entité spirituelle en rapport avec l'appareil de réponse du Logos planétaire, l'Etre dans lequel nous vivons, nous nous mouvons, et avons notre existence.

(source : "Traité sur les Sept Rayons - Guérison Esotérique" d'Alice Bailey, p.2)




L'homme, dans son corps, est une totalité, une unité.

Cette totalité est subdivisée en parties et organes nombreux.

Pourtant, ces multiples subdivisions fonctionnent de manière unifiée et le corps est un ensemble organisé.

Chacune de ces parties a une forme et une fonction différentes, mais toutes sont interdépendantes.

Chaque partie et chaque organe sont à leur tour composés de molécules, de cellules, d'atomes, et ceux-ci sont unis en organes par la vie de la totalité.

La totalité appelée homme est, grosso modo, divisée en cinq parties, certaines plus importantes que d'autres, mais qui contribuent toutes à l'ensemble de cet organisme vivant : l'être humain.

La tête,

Le torse, supérieur au diaphragme,

Le tronc, inférieur au diaphragme,

Les bras,

Les jambes.

Ces organes servent à divers usages et le bien-être du tout dépend de leur bon fonctionnement et de leur adaptation correcte.

Chacun a sa vie propre qui est la totalité de la vie de sa structure atomique, animée aussi par la vie unifiée du tout, dirigée de la tête par la volonté intelligente ou énergie de l'homme spirituel.

La partie importante du corps est celle qui comprend la triple division : tête, torse et tronc. Un homme peut vivre et agir sans bras ni jambes.

Chacune de ces trois parties est aussi triple physiquement, par analogie aux trois parties de l'homme et aux neuf parties de la vie monadique parfaite. Il existe d'autres organes, mais ceux énumérés ici ont une réelle signification ésotérique, supérieure à celles des autres parties.

Dans la tête, il y a :

les cinq ventricules du cerveau, ou cerveau en tant qu'organisme unifié ;

les trois glandes : carotide, pinéale et pituitaire ;

les deux yeux ;

Dans le torse :

la gorge,

les poumons,

le cœur.

Dans le tronc :

la rate,

l'estomac,

les organes sexuels.

La totalité du corps, triple aussi, comprend :

la peau et la structure osseuse,

le système vasculaire, ou sanguin,

le triple système nerveux.

Chacune de ces triplicités correspond aux trois parties de la nature de l'homme :

Nature physique : la peau et la structure osseuse sont analogues à son corps dense et à son corps éthérique.

Nature de l'âme : les vaisseaux sanguins et le système circulatoire sont analogues à l'âme qui pénètre tout, jusque dans toutes les parties du système solaire, comme le sang circule dans toutes les parties du corps.

Nature spirituelle : le système nerveux, qui donne de l'énergie à tout l'homme physique et agit par lui, correspond à l'énergie spirituelle.

Dans la tête, nous trouvons l'analogie de l'aspect spirituel, la volonté directrice, la monade, le Un ;

le cerveau, avec ses cinq ventricules, offre l'analogie avec la forme physique qu'anime l'esprit, par rapport à l'homme, unité quintuple, moyen d'expression de l'esprit sur le plan physique ;

les trois glandes de la tête sont en liaison étroite avec l'âme, ou nature psychique, supérieure et inférieure ;

les deux yeux correspondent, sur le plan physique, à la monade qui est volonté et amour-sagesse, ou atma-buddhi, selon la terminologie occulte.

Dans la partie supérieure du corps, nous voyons l'analogie avec la triple nature de l'âme ;

la gorge correspond au troisième aspect créateur, ou nature du corps, intelligence active de l'âme ;

le cœur correspond à l'amour-sagesse de l'âme, buddhi, ou principe christique ;

les poumons, analogues au souffle de vie, correspondent à l'esprit.

Dans le tronc, ce triple système se retrouve également :

les organes sexuels correspondent à l'aspect créateur qui façonne le corps ;

l'estomac, manifestation physique du plexus solaire, correspond à la nature de l'âme ;

la rate, réceptrice d'énergie, donc expression sur le plan physique du centre qui reçoit cette énergie, correspond à l'esprit qui donne l'énergie.

(source : "Traité sur la Magie Blanche" d'Alice Bailey, p.30 à 32)




Il nous est répété inlassablement dans les anciens écrits que le corps physique n'est pas un principe. Pourquoi ? Parce qu'il n'est qu'une apparence causée par la réunion des trois supérieurs et du quatrième ; cette apparence est un produit du mental humain.

(source : "Traité sur la Magie Blanche" d'Alice Bailey, p.413)




… le corps physique est un véritable canal de contact (quelquefois le seul qui exprime les relations sur le plan physique, de nature karmique) entre eux-mêmes et les personnes avec qui ils doivent épuiser certaines relations.

(source : "L'Etat de Disciple dans le Nouvel Age II" d'Alice Bailey, p.575)




La substance la plus élevée du corps physique :

La substance la plus élevée de la forme physique d'un être humain est donc atomique. Le corps physique d'un Maître est fait de matière atomique, et quand il souhaite le matérialiser sur le plan physique dense, il forme une enveloppe de substance gazeuse sur la matière atomique, parfaite dans le dessin de tous les traits physiques connus. La substance de la forme la plus élevée du corps animal est le second éther ; ceci comporte une des clés de la relation entre toutes les formes de la mer, de l'eau et de l'animal. Le genre de corps le plus élevé possible pour une forme de vie végétale est celle du troisième éther. Ces faits se manifesteront dans la septième ronde où les trois règnes actuels de la nature, l'humain, l'animal et le végétal, existeront objectivement en matière éthérique ; ce sera pour eux la forme de manifestation la plus dense. Le règne minéral trouvera sa plus haute manifestation dans le quatrième éther et cette transmutation commence déjà, car toutes les substances radioactives que l'on découvre à l'heure actuelle deviennent littéralement de la matière du quatrième éther. Relativement, le règne minéral s'approche de la perfection manvantarique possible ; quand on aura atteint la septième ronde, toutes les vies minérales (pas les formes) auront été transférées à une autre planète. Il n'en sera pas ainsi pour les trois autres règnes.

(source : "Traité sur le Feu Cosmique" d'Alice Bailey, p.789)




Au-dessus et au-dessous du diaphragme :

Le corps humain possède un merveilleux symbole distinctif entre les niveaux éthériques plus hauts et les inférieurs, de ceux qui sont appelés niveaux physiques. C'est le diaphragme séparant de tout le reste du corps la partie qui comprend le cœur, la gorge et la tête, ainsi que les poumons. Tous ceux-ci ont la plus grande importance du point de vue de la VIE, car ce que décide la tête, commande le cœur, soutient la respiration et exprime la gorge, détermine ce que l'homme EST.

Les organes se trouvant en dessous du diaphragme ont un usage bien plus objectif, quoique de grande importance. Bien que chacun de ces organes inférieurs ait une vie et un but propres, leur existence et leur fonctionnement est motivé, déterminé et conditionné par la vie et le rythme émanant des parties supérieures du véhicule. Ceci n'est pas facile à comprendre pour l'homme ordinaire, mais toute limitation grave ou maladie physique au-dessus du diaphragme exerce une contrainte et un effet grave sur tout ce qui se trouve en dessous du diaphragme. Le contraire n'a pas de suites si sérieuses.

(source : "La Télépathie et le Corps Ethérique" d'Alice Bailey, p.161)




Corps physique, naissance et mort :

Chaque être humain entre dans la vie équipé d'un corps physique et d'un corps éthérique formés de certains éléments, ces éléments étant le résultat d'une incarnation antérieure ; ils sont en fait la reproduction exacte du corps que l'homme laissa derrière lui quand la mort le sépara finalement de l'existence du plan physique. Le devoir qui est devant chacun est de prendre ce corps, discernant ses défauts et ses besoins, et de commencer alors délibérément à construire un nouveau corps qui puisse se révéler plus adéquat pour le besoin de l'esprit intérieur. C'est une tâche importante qui exige du temps, une sévère discipline, de l'abnégation et du jugement.

(source : "Lettres sur la Méditation Occulte" d'Alice Bailey, p.115)




La discipline du corps physique :

Ceci entraîne certaines conditions déterminées :

La construction de la matière des sous-plans supérieurs et l'élimination de la matière inférieure plus grossière. C'est une chose nécessaire, car il est impossible à ceux qui possèdent des corps épais de contacter la vibration élevée. Il est impossible à l'Ego de transmettre la connaissance et la direction supérieure à travers un corps physique trop dense. Il est impossible pour les hauts courants de pensées de contacter un cerveau physique peu évolué. C'est pourquoi l'épuration du corps physique est essentielle. Elle est effectuée de plusieurs façons, toutes raisonnables et utiles.

Par une nourriture pure. Ceci implique une alimentation végétarienne choisie avec un sage discernement

elle exige une nourriture composée de légumes et de fruits qui vitalisent. Une soigneuse discrimination dans le choix de l'alimentation, une sage abstention de repas trop lourds, et une petite quantité de bons aliments purs, parfaitement assimilés, constituent tout ce qui est indispensable à un disciple. Vous demandez quelle nourriture ? du lait, du miel, du pain de blé complet, tous les légumes qui contactent le soleil, des oranges (par dessus tout), des bananes, raisins, noisettes, quelques pommes de terre, du riz non glacé, et, puis-je redire à nouveau, juste ce qu'il en faut pour assurer l'activité.

Par la propreté. Il est nécessairement demandé d'employer beaucoup d'eau, aussi bien extérieurement qu'intérieurement.

Par le sommeil, qui devra toujours s'effectuer entre dix heures du soir et cinq heures du matin, et autant que possible fenêtres ouvertes.

Par la lumière du soleil. Le contact avec le soleil devra être très recherché, ainsi que la vitalisation apportée par ses rayons. Le soleil en détruisant tous les germes, libère de la maladie.

Ces quatre conditions, convenablement exécutées, provoqueront un processus d'élimination adéquatement déterminé, et en quelques années tout le corps physique aura graduellement transféré sa polarisation jusqu'à obtenir finalement un corps composé de matière des sous-plans atomiques... Ceci peut demander plusieurs incarnations, car il faut avoir en esprit que le corps qui est pris à chaque nouvelle incarnation est (si je peux exprimer cela ainsi), de la même qualité que celui qui a été antérieurement laissé au moment de la mort ; par conséquent le temps n'est jamais perdu en construisant.

(source : "Lettres sur la Méditation Occulte" d'Alice Bailey, p.322-323)




Corps physique, énergies et forces l’affectant :

Nous vivons dans un monde d'énergies, dont nous sommes nous-mêmes une partie constituante.

Le véhicule physique est une fusion de deux énergies et de sept forces.

La première énergie est celle de l'âme, l'énergie du rayon. Elle produit des conflits à mesure que l'énergie de l'âme cherche à commander les forces.

La seconde énergie est celle de la triple personnalité – le rayon de la personnalité en tant que résistant à l'énergie supérieure.

Les forces sont d'autres énergies ou puissances de rayon qui contrôlent les sept centres et sont dominées soit par l'énergie de l'âme soit par celle de la personnalité.

En conséquence, deux conflits se poursuivent entre les deux énergies majeures et entre les autres énergies focalisées à travers les sept centres.

C'est l'effet réciproque de ces énergies qui produit la bonne santé et la mauvaise.

(source : "Traité sur les Sept Rayons - Guérison Esotérique" d'Alice Bailey, p.108-109)




Le corps physique comporte donc quatre agents majeurs de distribution : le corps éthérique, le système nerveux, le système glandulaire, et le courant sanguin. Ils sont chacun complets par eux-mêmes et contribuent tous à la vie fonctionnelle et organique du corps. Ils sont tous étroitement imbriqués et produisent tous des effets tant physiologiques que psychologiques selon leur puissance, la réaction des centres à l'influx supérieur, le point d'évolution du sujet, et la libre expression ou le blocage des énergies affluentes.

(source : "Traité sur les Sept Rayons - Guérison Esotérique" d'Alice Bailey, p.112)




Evolution de l’homme et construction du corps physique :

Il faudrait donc garder présent à l'esprit que les corps physiques actuellement habités par les humains sont construits en matériaux très anciens, et que la substance employée est souillée ou conditionnée par l'histoire du passé.

A ce concept, il faut en ajouter deux autres :

Premièrement les âmes qui arrivent attirent à elles les types de matériaux avec lesquels il leur faudra édifier leurs gaines extérieures, et qui seront sensibles à quelque aspect de leur nature plus subtile. Si par exemple elles sont conditionnées par le désir physique, les matériaux de leur véhicule physique seront fort sensibles à ce besoin particulier.

Deuxièmement, chaque corps physique dont les fonctions sont mal utilisées contient en lui-même les germes d'une rétribution inévitable. Le grand péché originel de l'époque Lémurienne était de nature sexuelle. Il résultait non seulement de tendances inhérentes, mais de l'extraordinaire densité de la population au temps de cette civilisation, et de son étroite connexion avec le règne animal. L'origine des maladies syphilitiques remonte à cette époque.

(source : "Traité sur les Sept Rayons - Guérison Esotérique" d'Alice Bailey, p.180)




Les sources d’énergie qui régissent le corps physique :

Lorsque l'âme contrôle la forme impliquée, la santé est présente.

L'âme est la bâtisseuse de la forme, la force constructive en manifestation.

Ceci est vrai à la fois du microcosme et du macrocosme.

Elle apporte comme résultats l'intégrité, de justes relations, et une activité correcte.

Lorsque l'âme ne détient pas le commandement, et qu'en conséquence les forces de la nature en forme sont les facteurs décisifs, la maladie apparaît.

Les bâtisseurs de la forme sont les "seigneurs lunaires", les élémentaux physique, astral, et mental.

Ceux-ci, dans leur triple totalité, composent la personnalité.

Ils sont placés ésotériquement sous la gouverne de la lune, symbole de la forme et souvent appelés la "mère de la forme".

L'émanation provenant de la lune contient les germes de la mort et de la maladie, parce que la lune est une "planète morte".

On remarquera que tout est ramené à nouveau à la source majeure d'énergie qui régit le corps. Bien que l'âme soit la source de toute vie et de toute conscience, elle se borne durant des éons à préserver la vie et la conscience de la forme jusqu'à ce que la forme ait atteint le stade d'évolution où elle représente un instrument utile et approprié, en voie de perfectionnement continuel. L'âme peut alors l'employer comme moyen d'expression et de service, et le karma détermine la nature et la qualité du corps physique. Celui-ci est sain lorsqu'on n'en a pas abusé dans la ou les vies particulières qui conditionnent une incarnation donnée, ou malsain parce qu'il paye le prix des fautes.

La bonne santé ne dépend pas nécessairement du contact conscient avec l'âme. Elle peut résulter de ce contact, et en résulte réellement, mais dans la majorité des cas moyens, elle dépend aussi de la vie et des intentions de la personnalité, tant dans la présente incarnation que dans certaines autres du passé.

Pour que l'âme apporte une aide véritable, il faut attendre que la personnalité ait orienté sa volonté vers le progrès spirituel et vers une vie plus nette et plus pure.

(source : "Traité sur les Sept Rayons - Guérison Esotérique" d'Alice Bailey, p.476-477)




Pour nous résumer, le corps physique n'est pas un principe. Il n'est pas un objet principal d'attention pour les aspirants. Il répond automatiquement à la conscience qui se développe lentement dans tous les règnes

de la nature. Il reste constamment un objet sur lequel on travaille et non un sujet possédant une influence de son cru. Il n'est pas important dans le processus actif, car il est un récepteur et non un initiateur d'activité. Ce qui est important, c'est la conscience en voie de développement, la réponse de l'homme spirituel intérieur à la vie, aux circonstances, aux événements, et à l'entourage.

Le corps physique répond. Lorsqu'il devient par erreur l'objet de l'attention, cela dénote une régression. C'est pourquoi toute attention profonde portée aux disciplines physiques, au végétarisme, aux régimes, au jeûne, et à tous les modes de guérison soi-disant mentale ou divine sont indésirables et non conformes au dessein projeté. Toute considération injustifiée, tout accent excessif mis sur le corps physique sont donc réactionnaires et ressemblent à l'adoration du veau d'or par les enfants d'Israël. C'est un retour à ce qui fut important autrefois, mais devrait aujourd'hui être relégué à une position mineure, au-dessous du seuil de la conscience.

(source : "Traité sur les Sept Rayons - Guérison Esotérique" d'Alice Bailey, p.480)




…un être humain est une entité spirituelle occupant ou animant (c'est le terme occulte que je préfère) un véhicule physique dense. Ce corps dense est une fraction de la structure générale de la planète tout entière, composée d'atomes vivants qui sont sous le contrôle de la vie de l'entité planétaire et en font partie.

Le véhicule physique dense est laissé de par la volonté de l'âme animante dans une liberté temporaire et dirigée tout en continuant de faire intrinsèquement partie de la somme totale de toute la substance atomique. Il a sa propre vie et une certaine intelligence que nous appelons sa nature instinctive. Les ésotéristes donnent à ce véhicule le nom d'élémental physique. Durant la vie incarnée, il est la force cohérente ou l'agencement par lequel le corps physique préserve sa forme particulière sous l'impact de la vitalité éthérique qui affecte tous les atomes vivants et les met en relation les uns avec les autres. Le corps physique est au sein de la vie unique le grand symbole de la multiplicité qui la constitue. Il est la démonstration de la cohérence innée, de l'unité, de la synthèse, et des relations réciproques.

(source : "Traité sur les Sept Rayons - Guérison Esotérique" d'Alice Bailey, p.495-496)




Le corps physique est nécessairement actif et fort, mais il faut de plus en plus le considérer comme un automate, influencé et dirigé par :

Le corps vital et les forces de maya ; ou par l'inspiration émanant de points de tension spirituelle.

Le corps astral et les forces de mirage ; ou par l'amour conscient provenant de l'âme.

Le mental et les forces d'illusion ; ou par l'illumination, provenant de sources de vie supérieures à la vie dans les trois mondes.

L'âme, comme véhicule d'impression monadique, jusqu'à ce que l'antahkarana soit construit, ce pont de matière mentale qui reliera finalement la Monade et la personnalité.

(source : "Le Mirage, Problème Mondial" d'Alice Bailey, p.181)




Corps pituitaire : Voir aussi Glande pinéale.


Le corps pituitaire (dans tous les cas de développement normal et correct) forme le centre qui reçoit la vitalisation triple se déversant par le sutratma du plan mental intérieur, astral et éthérique. La glande pinéale entre en activité quand cette action est renforcée par l'arrivée d'énergie venant de l'Ego sur son propre plan. Quand l'antaskarana est en voie d'utilisation, le centre alta-major est de même employé et les trois centres physiques de la tête commencent à travailler comme une unité, formant ainsi une sorte de triangle. Quand on atteint la troisième Initiation, ce triangle est pleinement éveillé et le feu (ou énergie) circule librement.

(source : "Traité sur le Feu Cosmique" d'Alice Bailey, p.811)


(article créé, au moins en partie, à partir de l'"Encyclopédie de l'Ame")

Voir aussi

Notes et références


Les numéros de pages mentionnés pour cet article de l'Encyclopédie de l'Ame sont les numéros de pages de l'édition française. La transposition en numéros de pages de l'édition anglaise de référence interviendra ultérieurement.