« Akâsha » : différence entre les versions

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Esotériquement, il est reconnu que le règne végétal est le transformateur du fluide pranique vital et également son transmetteur aux autres formes de vie de notre planète. C'est là sa fonction divine et unique. Le fluide pranique, sous sa forme de lumière astrale, est le réflecteur de l'akasha divin. C'est ainsi que le second plan se réfléchit dans le plan astral. Ceux qui cherchent à lire les annales akashiques, ou qui s'efforcent de travailler sans risques sur le plan astral pour y étudier correctement la réflexion des événements dans la lumière astrale, doivent obligatoirement et sans exception être des végétariens stricts. C'est cette ancienne connaissance atlantéenne qui est à la base de l'insistance des végétariens sur la nécessité du régime végétarien, et qui est la véracité et la force de cette injonction. C'est le fait de ne pas  se conformer à cette sage règle qui a semé chez beaucoup de psychiques actuels des erreurs d'interprétation des annales astrales et akashiques et qui a donné lieu à des "lectures" incorrectes et insensées de vies passées. Il n'y a que ceux qui, pendant dix ans, ont été des végétariens stricts qui soient capables de travailler dans ce qu'on peut appeler : "l'aspect des annales de la lumière astrale". Lorsqu'ils joignent à leurs corps astral et physique purifiés, la lumière de la raison et l'illumination de leur mental focalisé (ce qui se rencontre très rarement) ils deviennent des interprètes fidèles des phénomènes astraux.   
Esotériquement, il est reconnu que le règne végétal est le transformateur du fluide pranique vital et également son transmetteur aux autres formes de vie de notre planète. C'est là sa fonction divine et unique. Le fluide pranique, sous sa forme de lumière astrale, est le réflecteur de l'akasha divin. C'est ainsi que le second plan se réfléchit dans le plan astral. Ceux qui cherchent à lire les annales akashiques, ou qui s'efforcent de travailler sans risques sur le plan astral pour y étudier correctement la réflexion des événements dans la lumière astrale, doivent obligatoirement et sans exception être des végétariens stricts. C'est cette ancienne connaissance atlantéenne qui est à la base de l'insistance des végétariens sur la nécessité du régime végétarien, et qui est la véracité et la force de cette injonction. C'est le fait de ne pas  se conformer à cette sage règle qui a semé chez beaucoup de psychiques actuels des erreurs d'interprétation des annales astrales et akashiques et qui a donné lieu à des "lectures" incorrectes et insensées de vies passées. Il n'y a que ceux qui, pendant dix ans, ont été des végétariens stricts qui soient capables de travailler dans ce qu'on peut appeler : "l'aspect des annales de la lumière astrale". Lorsqu'ils joignent à leurs corps astral et physique purifiés, la lumière de la raison et l'illumination de leur mental focalisé (ce qui se rencontre très rarement) ils deviennent des interprètes fidèles des phénomènes astraux.   

Version du 18 août 2017 à 15:39

Akaśa ou Akâsha, du sanskrit. L'essence subtile supersensorielle et spirituelle qui pénètre tout l'espace ; la substance primordiale identifiée à tort avec l'Ether. Mais elle est à l'Ether ce que l'Esprit est à la Matière ou Atma au Kâma-rûpa. En fait, c'est l'Espace Universel dans lequel réside, inhérent, l'Idéation éternelle de l'Univers dans ses aspects toujours changeants sur les plans de matière et d'objectivité, et d'où rayonne le Premier Logos, ou pensée exprimée. C'est pourquoi il est dit dans les Purânas que l'Akâśa n'a qu'un seul attribut, le son, car le son n'est que le symbole traduit du Logos – "le langage" dans son sens mystique.

Dans le même sacrifice (le Jyotihsh. toma Agnishtoma) il est appelé le "Dieu Akâśa". Dans ces mystères sacrificiels, Akâśa est le Déva directeur et tout puissant qui joue le rôle de Sadasya, qui dirige et surveille les effets magiques de la célébration religieuse, et il avait son Hotri (prêtre) personnel, jadis, qui prenait son nom. L'Akâśa est l'agent indispensable de tout Krityâ (performance magique) religieuse ou profane. L'expression "susciter le Brahmâ" signifie mettre en oeuvre le pouvoir qui réside latent à la base de toute opération magique, les sacrifices védiques n'étant en fait rien d'autre que de la magie cérémonielle.

Ce pouvoir est l'AkâśaKundalini sous un autre aspect – l'électricité occulte, l'alkahest des alchimistes en un sens, ou le solvant universel, la même anima mundi sur le plan supérieur que la Lumière Astrale sur l'inférieur. "Au moment du sacrifice le prêtre devient imprégné de l'esprit de Brahmâ, il est, pour le moment, Brahmâ lui-même." (Isis Dévoilée).

(source : "Glossaire Théosophique" d'Héléna Blavatsky)




C'est l'Ame Universelle, la Matrice de l'Univers, le Mysterium Magicum d'où tout ce qui existe est issu par séparation et différenciation. Dans les divers livres occultes on lui donne différents noms, il y a un seul élément universel avec ses différenciations :


Homogène Différencié 1. Substance cosmique indifférenciée 1. Lumière astrale 2. Ether primordial 2. Mer de Feu 3. Entité électrique primordiale 3. Electricité 4. Akasha 4. Prakriti 5. Lumière astrale supérieure 5. Matière atomique 6. Serpent de Feu 6. Le Serpent du Mal 7. Mulaprakriti 7. L'Ether avec ses 4 divisions : "air, feu, eau, 8. Matière Prégénétique terre".


L'essence subtile supersensorielle et spirituelle qui pénètre tout l'espace ; la substance primordiale identifiée à tort avec l'Ether. Mais elle est à l'Ether ce que l'Esprit est à la Matière ou Atma au Kâma-rûpa. En fait, c'est l'Espace Universel dans lequel réside, inhérent, l'Idéation éternelle de l'Univers dans ses aspects toujours changeants sur les plans de matière et d'objectivité, et d'où rayonne le Premier Logos, ou pensée exprimée. C'est pourquoi il est dit dans les Purânas que l'Akâśa n'a qu'un seul attribut, le son, car le son n'est que le symbole traduit du Logos –"le langage" dans son sens mystique. Dans le même sacrifice (le Jyotihsh. toma Agnishtoma) il est appelé le "Dieu Akâśa". Dans ces mystères sacrificiels Akâśa est le Déva directeur et tout puissant qui joue le rôle de Sadasya, qui dirige et surveille les effets magiques de la célébration religieuse, et il avait son Hotri (prêtre) personnel, jadis, qui prenait son nom. L'Akâśa est l'agent indispensable de tout Krityâ (performance magique) religieuse ou profane. L'expression "susciter le Brahmâ" signifie mettre en oeuvre le pouvoir qui réside latent à la base de toute opération magique, les sacrifices védiques n'étant en fait rien d'autre que de la magie cérémonielle. Ce pouvoir est l'Akâśa – Kundalini sous un autre aspect – l'électricité occulte, l'alkahest des alchimistes en un sens, ou le solvant universel, la même anima mundi sur le plan supérieur que la Lumière Astrale sur l'inférieur. "Au moment du sacrifice le prêtre devient imprégné de l'esprit de Brahmâ, il est, pour le moment, Brahmâ lui-même."

(source : "Isis Dévoilée" d'Héléna Blavatsky)




Esotériquement, il est reconnu que le règne végétal est le transformateur du fluide pranique vital et également son transmetteur aux autres formes de vie de notre planète. C'est là sa fonction divine et unique. Le fluide pranique, sous sa forme de lumière astrale, est le réflecteur de l'akasha divin. C'est ainsi que le second plan se réfléchit dans le plan astral. Ceux qui cherchent à lire les annales akashiques, ou qui s'efforcent de travailler sans risques sur le plan astral pour y étudier correctement la réflexion des événements dans la lumière astrale, doivent obligatoirement et sans exception être des végétariens stricts. C'est cette ancienne connaissance atlantéenne qui est à la base de l'insistance des végétariens sur la nécessité du régime végétarien, et qui est la véracité et la force de cette injonction. C'est le fait de ne pas se conformer à cette sage règle qui a semé chez beaucoup de psychiques actuels des erreurs d'interprétation des annales astrales et akashiques et qui a donné lieu à des "lectures" incorrectes et insensées de vies passées. Il n'y a que ceux qui, pendant dix ans, ont été des végétariens stricts qui soient capables de travailler dans ce qu'on peut appeler : "l'aspect des annales de la lumière astrale". Lorsqu'ils joignent à leurs corps astral et physique purifiés, la lumière de la raison et l'illumination de leur mental focalisé (ce qui se rencontre très rarement) ils deviennent des interprètes fidèles des phénomènes astraux.

(source : "Traité sur les Sept Rayons - Psychologie Esotérique I" d'Alice Bailey, p.244)




L'akasha est partout. En lui nous avons la vie, le mouvement et l'être. Tout n'est qu'une substance unique et, dans le corps humain, se trouvent les correspondances à ses diverses différenciations.

(source : "La Lumière de l'Ame" d'Alice Bailey, p.283)


Chroniques akashiques

Les chroniques akashiques sont semblables à une immense pellicule photographique enregistrant tous les désirs et expériences terrestres de notre planète. Ceux qui les aperçoivent y verront représentés :

1. Les expériences de la vie de chaque être humain depuis le début du temps.

2. Les réactions du règne animal tout entier aux expériences faites.

3. L'agrégat des formes-pensées de nature kamique (basée sur le désir) de chaque unité humaine au long du temps. Là réside la grande duperie de ces enregistrements. Seul un occultiste éprouvé peut établir une distinction entre une expérience réelle et les images astrales créées par l'imagination jointe à un vif désir.

4. Le "Gardien du Seuil" planétaire, avec tout ce que ce terme comporte et tous les agrégats de formes qui se trouvent dans son entourage. Le voyant exercé a appris à dissocier ce qui appartient à sa propre aura de ce qui appartient à l'aura de la planète (celle-ci constituant réellement les chroniques akashiques). Il peut établir une distinction entre ces enregistrements qui sont :
a. Planétaires,
b. Hiérarchiques ou se rapportant au travail des douze Hiérarchies créatrices, en voie de concrétiser le plan du Logos,
c. Des formes imaginaires, résultant de l'activité des pensées-désirs de myriades d'humains qu'anime le désir d'une forme quelconque d'expérience,
d. La chronique historique se rapportant aux races, nations, groupes et familles dans leurs deux grandes divisions sur le plan physique et sur le plan astral. Il faut garder à l'esprit le fait que tout être humain appartient à une famille physique qui constitue son lien avec le règne animal, et qu'il appartient également à une famille astrale. En raison de cette appartenance, il est relié, sur l'arc ascendant, à son groupe égoïque, et sur l'arc descendant au règne végétal.
e. La chronique astrologique, ou les formes assumées sur le plan astral sous l'influence des forces planétaires. Ces formes se répartissent en deux grands groupes :
1. Les formes ou images produites dans l'akasha par l'influx de la force solaire, par la voie des planètes.
2. Les formes ou images produites par l'influx de forces cosmiques de l'un ou l'autre des signes du zodiaque, c'est-à-dire des constellations qui leur correspondent.


(source : "La Lumière de l'Ame" d'Alice Bailey, p.234-235)




Ces dernières sont le rouleau éternel où est inscrit le plan concernant le monde et sur lequel ceux d'entre nous qui enseignent trouvent leur documentation et beaucoup de renseignements.

(source : "Extériorisation de la Hiérarchie" d'Alice Bailey, p.11)


(article créé, au moins en partie, à partir de l'"Encyclopédie de l'Ame")


Voir aussi

Notes et références


Les numéros de pages mentionnés pour cet article de l'Encyclopédie de l'Ame sont les numéros de pages de l'édition française. La transposition en numéros de pages de l'édition anglaise de référence interviendra ultérieurement.