« Moïse Cordovero » : différence entre les versions
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'''Moïse Cordovero''' (''rabbin'') (1550 Ap. J.C.). Auteur de plusieurs ouvrages [[Kabbale|cabalistiques]] de grande réputation, savoir, ''[[Une Douce Lumière]]'', ''[[Le Livre de la Solitude]]'', et ''[[Le Jardin des Grenades]]'' ; ce dernier peut être lu en latin dans la ''[[Kabbalah Denudata]]'' de [[Knorr von Rosenroth]], sous le titre ''[[Tractatus de Animo]]'', ex ''[[Libro Pardes Rimmonim]]''. Cordovero est remarquable pour son adhésion à la partie strictement métaphysique, ignorant la branche "''qui permet de faire des prodiges''" que le rabbin [[Sabbatai Zevi]] pratiquait, à la poursuite de laquelle il faillit en périr.([[w.w.w.]]) | '''Moïse Cordovero''' (''rabbin'') (1550 Ap. J.C.). Auteur de plusieurs ouvrages [[Kabbale|cabalistiques]] de grande réputation, savoir, ''[[Une Douce Lumière]]'', ''[[Le Livre de la Solitude]]'', et ''[[Le Jardin des Grenades]]'' ; ce dernier peut être lu en latin dans la ''[[Kabbalah Denudata]]'' de [[Knorr von Rosenroth]], sous le titre ''[[Tractatus de Animo]]'', ex ''[[Libro Pardes Rimmonim]]''. Cordovero est remarquable pour son adhésion à la partie strictement [[métaphysique]], ignorant la branche "''qui permet de faire des prodiges''" que le rabbin [[Sabbatai Zevi]] pratiquait, à la poursuite de laquelle il faillit en périr.([[w.w.w.]]) | ||
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Dernière version du 16 avril 2008 à 10:15
Moïse Cordovero (rabbin) (1550 Ap. J.C.). Auteur de plusieurs ouvrages cabalistiques de grande réputation, savoir, Une Douce Lumière, Le Livre de la Solitude, et Le Jardin des Grenades ; ce dernier peut être lu en latin dans la Kabbalah Denudata de Knorr von Rosenroth, sous le titre Tractatus de Animo, ex Libro Pardes Rimmonim. Cordovero est remarquable pour son adhésion à la partie strictement métaphysique, ignorant la branche "qui permet de faire des prodiges" que le rabbin Sabbatai Zevi pratiquait, à la poursuite de laquelle il faillit en périr.(w.w.w.)
(source : "Glossaire Théosophique" d'Héléna Blavatsky)