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'''Kalavinka''', du sanskrit. "L'oiseau à la douce voix d'immortalité". Eitel l'identifie au cuculus melanoleicus, quoique l'oiseau lui-même soit allégorique et non-existant. Sa voie est entendue lors d'une certaine étape de Dhyâna dans la pratique yoguique. On dit qu'elle réveilla le roi Bimbisâra et ainsi le sauva de la morsure d'un cobra. Dans son sens ésotérique cet oiseau à la douce voix est notre égo supérieur. | '''Kalavinka''', du sanskrit. "L'[[oiseau]] à la douce voix d'immortalité". Eitel l'identifie au cuculus melanoleicus, quoique l'oiseau lui-même soit allégorique et non-existant. Sa voie est entendue lors d'une certaine étape de [[Dhyâna]] dans la pratique yoguique. On dit qu'elle réveilla le roi [[Bimbisâra]] et ainsi le sauva de la morsure d'un [[cobra]]. Dans son sens [[ésotérique]] cet oiseau à la douce voix est notre [[égo supérieur]]. | ||
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Dernière version du 22 mars 2008 à 18:55
Kalavinka, du sanskrit. "L'oiseau à la douce voix d'immortalité". Eitel l'identifie au cuculus melanoleicus, quoique l'oiseau lui-même soit allégorique et non-existant. Sa voie est entendue lors d'une certaine étape de Dhyâna dans la pratique yoguique. On dit qu'elle réveilla le roi Bimbisâra et ainsi le sauva de la morsure d'un cobra. Dans son sens ésotérique cet oiseau à la douce voix est notre égo supérieur.
(source : "Glossaire Théosophique" d'Héléna Blavatsky)