Kuntî : Différence entre versions

De Esopedia
Aller à : navigation, rechercher
(Import automatique)
 
Ligne 1 : Ligne 1 :
'''Kunti''', du sanskrit. La femme de Pându et la mère des Pândavas, héros et ennemis de leurs cousins, les Kauravas, dans la Bhagavad Gîtâ. C'est une allégorie de l'âme-esprit ou buddhi. Certains pensent que Draupadî, la femme possédée en commun par les cinq frères, les Pândavas, est là pour représenter buddhi ; mais il n'en est pas ainsi car Draupadî est considérée comme la vie terrestre de la personnalité. Comme telle, nous voyons que l'on fait peu cas d'elle ; il lui est permis de se faire insulter et même d'être réduite en esclavage par Yudhisthira, l'aîné des Pândavas et son Seigneur et Maître, qui représente l'égo supérieur avec toutes ses capacités.
+
'''Kunti''', du sanskrit. La femme de [[Pându]] et la [[mère]] des [[Pândavas]], héros et ennemis de leurs cousins, les [[Kauravas]], dans la ''[[Bhagavad Gîtâ]]''. C'est une allégorie de l'[[âme]]-[[esprit]] ou [[buddhi]]. Certains pensent que [[Draupadî]], la femme possédée en commun par les [[cinq]] frères, les Pândavas, est là pour représenter buddhi ; mais il n'en est pas ainsi car Draupadî est considérée comme la vie terrestre de la [[personnalité]]. Comme telle, nous voyons que l'on fait peu cas d'elle ; il lui est permis de se faire insulter et même d'être réduite en esclavage par [[Yudhisthira]], l'aîné des Pândavas et son Seigneur et [[Maître]], qui représente l'[[égo supérieur]] avec toutes ses capacités.
  
 
{{gloss}}
 
{{gloss}}
  
 
{{i}}
 
{{i}}

Version du 24 mars 2008 à 19:57

Kunti, du sanskrit. La femme de Pându et la mère des Pândavas, héros et ennemis de leurs cousins, les Kauravas, dans la Bhagavad Gîtâ. C'est une allégorie de l'âme-esprit ou buddhi. Certains pensent que Draupadî, la femme possédée en commun par les cinq frères, les Pândavas, est là pour représenter buddhi ; mais il n'en est pas ainsi car Draupadî est considérée comme la vie terrestre de la personnalité. Comme telle, nous voyons que l'on fait peu cas d'elle ; il lui est permis de se faire insulter et même d'être réduite en esclavage par Yudhisthira, l'aîné des Pândavas et son Seigneur et Maître, qui représente l'égo supérieur avec toutes ses capacités.

(source : "Glossaire Théosophique" d'Héléna Blavatsky)