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Version du 3 mai 2008 à 20:13

Guérison Ésotérique.


Règles et Lois :

Dans le volume IV du Traité sur les Sept Rayons, La Guérison Esotérique, le Maître Tibétain énonce six Règles pour les Guérisseurs et dix Lois de Guérison. Nous en reproduisons ici quelques unes d’entre elles.

LOI I : Toute maladie résulte d'une inhibition dans la vie de l'âme. Ceci est vrai de toutes les formes et dans tous les règnes. L'art du guérisseur consiste à libérer l'âme, de manière que sa vie puisse s'écouler par les agrégats d'organismes qui composent toute forme particulière.

(Source : Guérison Esotérique d'Alice Bailey, p. 538, éd. angl.)

LOI II : La maladie est le produit de trois influences, et elle leur est sujette. D'abord le passé d'un homme, selon lequel il paye le prix de ses anciennes erreurs. Deuxièmement son hérédité selon laquelle il partage avec toute l'humanité les courants souillés d'énergie qui sont d'origine collective. Troisièmement, il participe au même titre que toutes les formes naturelles à ce que le Seigneur de la Vie impose à Son corps. On appelle ces influences "La Loi Ancienne de Partage du Mal". Un jour il faudra qu'elle cède la place a la "Loi nouvelle de l'Ancien Bien Dominant", sous-jacente a tout ce que Dieu a créé. Cette dernière loi doit être mise en action par la volonté spirituelle de l'homme.

(Source : Guérison Esotérique d'Alice Bailey, p. 543, éd. angl.)

LOI IV Les maladies, tant physiques que psychologiques, ont leurs racines dans le bien, le beau, et le Vrai. Elles ne sont qu'un reflet déformé des possibilités divines. L'âme contrecarrée, qui recherche la pleine expression de quelque caractéristique divine ou réalité spirituelle intérieure, provoque un point de friction dans la substance de ses gaines. Le regard de la personnalité se focalise sur ce point, ce qui appelle la maladie. L'art du guérisseur se préoccupe de relever les regards focalisés vers le bas en les orientant vers l'âme, qui est le véritable Guérisseur intérieur de la forme. Alors l'oeil spirituel ou troisième oeil dirige la force curative, et le rétablissement s'ensuit.

(Source : Guérison Esotérique d'Alice Bailey, p. 564, éd. angl.)

PREMIERE REGLE : Que le guérisseur s'entraîne à connaître le stade intérieur de pensée ou de désir de celui qui recherche son aide. Il pourra ainsi connaître la source d'où provient le trouble. Qu'il relie ensuite la cause et l'effet et connaisse le point exact par où le soulagement doit intervenir.

(Source : Guérison Esotérique d'Alice Bailey, p. 550, éd. angl.)

DEUXIEME REGLE Il faut que le guérisseur parvienne à la pureté magnétique par sa pureté de vie. Il faut qu'il puisse émettre le rayonnement dissipateur qui apparaît chez tous les hommes ayant relié leurs centres céphaliques. Lorsque ce champ magnétique est établi, la radiation est émise.

(Source : Guérison Esotérique d'Alice Bailey, p. 577, éd. angl.)



Autres extraits :


Le thème tout entier de la guérison ésotérique est inséparable de la croissance, du développement, et du contrôle des sept centres majeurs.

(Source : Guérison Esotérique d'Alice Bailey, p. 80, éd. angl.)


Bien des méthodes curatives actuellement employées sont inefficaces, parce que le guérisseur présente les incapacités suivantes : 1. Il ne peut jauger ni l'étendue du trouble, ni sa localisation essentielle, ni apprécier dans quel corps se trouve principalement la source ou le lieu du trouble. 2. Il ne sait pas à quel échelon se trouve le patient sur l'échelle de l'évolution, et où, en conséquence, il faut rechercher la source de la difficulté. 3. Il ne sait pas discriminer parmi les maladies celles qui résultent de conditions intérieures personnelles, ou de tendances héréditaires, ou qui émanent d'un groupe. 4. Le guérisseur ne sait pas s'il doit prendre le cas en mains : a. par voie allopathique ou homéopathique, car les deux peuvent parfois jouer leur rôle, ou par l'un des autres moyens que les ressources de la science moderne mettent à sa disposition ; b. par radiation, par magnétisation, ou par les deux ; c. par un bon ajustement psychologique intérieur du patient secondé par la bonne perspicacité de l'agent guérisseur ; d. en faisant appel au pouvoir de la propre âme du malade, chose seulement possible aux gens spirituellement évolués ; e. par des moyens résolument occultes, tels que la formation d'un triangle.

Triangle guérison.jpg

Cette dernière méthode implique chez le guérisseur beaucoup de savoir et un haut degré de compréhension spirituelle. Elle présuppose aussi que le guérisseur soit lié à un Maître et au groupe de ce Maître, et qu'il ait acquis le droit d'utiliser l'énergie de ce groupe pour le compte du patient – chose rarement accordée jusqu'à présent.


(Source : Guérison Esotérique d'Alice Bailey, pp. 26-27, éd. angl.)


Il faut que le guérisseur apprenne à isoler sa personnalité de l'énergie destinée au patient. Il doit la transférer et la fusionner avec l'énergie propre du centre qui régit la zone malade chez le patient. Alors l'activité de la glande connexe est doublement stimulée ou freinée selon le cas et les exigences du diagnostic, et le courant sanguin apporte dans les tissus malades ce qui est nécessaire pour guérir le mal ou le tenir en échec. L'enseignement ci-dessus apporte de nombreux aliments à la pensée. J'ai insisté sur un aspect scientifique de la guérison ésotérique qui n'avait pas été porté jusqu'ici à la connaissance des aspirants. Qu'ils s'efforcent de saisir le tableau général et de discerner clairement les éléments du processus. Qu'ils étudient la relation entre guérisseur et patient au moment où le guérisseur dépasse le premier stade consistant simplement à aimer le patient et à lui transmettre de l'amour ou à le voir dans la lumière de l'amour. Il aborde alors le travail scientifique consistant à accroître l'énergie spirituelle du patient pour permettre à ce dernier d'effectuer lui-même sa propre cure, consciemment ou inconsciemment. Sont donc en présence : le guérisseur, le patient, et le réservoir d'énergie spirituelle, plus le processus scientifique consistant à les associer tous trois en un rapport étroit et curatif. Cela s'accomplit via le centre intéressé chez le patient et le centre correspondant chez le guérisseur, et en dirigeant vers la zone malade les courants réunis de l'énergie spécifique appropriée par un acte de volonté du guérisseur ou du groupe guérisseur.

(Source : Guérison Esotérique d'Alice Bailey, pp. 206-207, éd. angl.)


Le travail des guérisseurs et des groupes guérisseurs viendra donc s'adjoindre aux soins orthodoxes. De part et d'autres, il faudra surveiller et noter les résultats avec soin. Tout groupe qui se forme pour guérir devrait travailler selon certaines orientations déterminées, dont je suggère quelques-unes comme essentielles au cours de la présente période de transition. 1. Le patient qu'il faut guérir (ou secourir si la guérison n'est pas possible) doit toujours être entre les mains d'un médecin estimé, et, à défaut, il faut l'encourager à en consulter un. 2. Le groupe doit connaître la maladie et la déterminer par un soigneux diagnostic orthodoxe. 3. Il faudrait également connaître l'âge du patient et posséder quelques renseignements sur son ambiance, de manière à fournir un foyer d'intérêt. Il faudrait établir autour du patient une zone magnétique pouvant attirer l'énergie du groupe dirigée par la pensée. 4. Le guérisseur ou le groupe guérisseur doit avoir des notions générales sur la nature et l'anatomie du corps, l'emplacement des divers organes, et la position et la nature des centres qui régissent la ou les régions malades. Il faut étudier les tableaux qui donnent ces renseignements. 5. Un groupe guérisseur doit insister sur la faculté d'imagination et le pouvoir de visualiser, et développer l'aptitude à envoyer des courants d'énergie vers le patient et [17@287] la région où siège le mal. 6. Le guérisseur doit se rappeler qu'il ne travaille pas seulement avec l'énergie mentale. a. Il crée pour lui-même une pensée de pouvoir curatif. b. Une fois créé, le point focal d'attention concentrée devient l'agent directeur pour la force curative ou prana. c. La nature du prana n'est ni mentale ni astrale. Le prana est pure substance planétaire ou essence vivante, et c'est cette substance qui compose le corps éthérique de la planète. d. Le guérisseur ou son groupe s'approprient autant de cette substance que possible et la dirigent vers le centre intéressé par le pouvoir de leur unité de pensée. Il ne faut pas oublier que le travail de guérison est circulatoire. Il ne s'agit pas d'envoyer et l'énergie pranique vers un centre et de lui permettre de s'y accumuler. On lui fait traverser le centre, tout d'abord vers l'organe impliqué ou la région où siège le mal, puis on l'expulse entièrement du corps. On peut comparer le procédé à un système de rinçage avec effet purifiant et stimulant. Au stade initial actuel d'expérimentation et de travail dans la ligne indiquée, il n'est possible que de donner quelques règles simples. L'expérience viendra par l'obtention de résultats, et le groupe guérisseur apprendra comment il faut travailler, quand il faut changer de méthode, et ce qu'il faut observer.

(Source : Guérison Esotérique d'Alice Bailey, pp. 286-287, éd. angl.)


En dernière analyse, la véritable guérison ésotérique est une affaire simple en comparaison des détails touffus et complexes dont les médecins modernes ont à tenir compte à propos du mécanisme humain et de ses maladies. Le guérisseur spirituel s'intéresse à la région où siège la maladie au centre éthérique qui la contrôle, à son homologue supérieur, et aux trois énergies émanant de l'âme qui sont responsables d'avoir causé le ou les points de friction. Pour le reste de son travail, il devra employer l'imagination créatrice, savoir visualiser, et connaître les raisonnements scientifiques basés sur la loi fondamentale et universelle que "l'énergie suit la pensée". Sous le rapport de la guérison, cette visualisation et cette pensée scientifique n'impliquent pas la construction de formes-pensées, mais impliquent la la capacité de mobiliser et de diriger des courants d'énergie.

(Source : Guérison Esotérique d'Alice Bailey, pp. 574-575, éd. angl.)