« Traité sur la Magie Blanche » : différence entre les versions
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Version du 30 décembre 2006 à 23:12
Traité sur la Magie Blanche d'Alice Bailey a été tout d'abord publié en 1934 avec le sous-titre Le Sentier du Disciple (The Way of the Disciple). C'est un texte ésotérique conséquent. Comme la plupart des ouvrages d'Alice Bailey, celui-ci est déclaré comme étant de la plume d'un Maître dit le Tibétain et ayant été transcrit par A. Bailey.
Il se présente comme un « manuel de base » pour les aspirants occidentaux à l'initiation, et est divisé en quinze règles pour la magie, chacune d'entre elle amenant le lecteur plus loin dans les mystères de la spiritualité.
Les thèmes discutés incluent : la manière dont un aspirant peut se préparer au mieux pour le service (à l'humanité), les différents types de rayons et leurs influences (thème récurrent chez A.Bailey), la relation entre le macrocosme et le microcosme, les plans dits spirituel, astral et physique, ainsi que leurs interactions, la psychologie dite ésotérique de l'homme (bien que ce thème soit davantage traité dans les volumes de la Psychologie Esotérique du Traité sur les Sept Rayons), la Hiérarchie des Maîtres, les groupes et écoles ésotériques, les centres spirituels (ou chakras), la méditation, etc. L'un des thèmes principaux consiste néanmoins en la notion de contrôle de l'âme.
Quatrième de couverture
« Cet ouvrage expose les Quinze Règles de la magie (contrôle de l'Ame). L'Ame du magicien blanc s'efforce d'entrer en contact avec son instrument, la Personnalité, afin de parvenir à la maîtriser. C'est ainsi que l'humanité développe une conscience de la divinité innée, que la matière dense se voit transmutée et la pure flamme de l'esprit libérée des limitations de la forme. »
Sur la version originale (en anglais) de l'ouvrage, on trouve également citée une phrase de la Bhagavad-Gita accompagnée d'un commentaire :
« Bien que je sois Non-Né, l'Âme ne mourrant pas, bien que je sois le Seigneur de l'Être, alors comme le Seigneur par-delà Ma nature je deviens manifesté, au travers du pouvoir magique de l'Âme.
L'âme non manifestée dans son être essentiel, qui se manifeste au travers de la nature de son instrument qu'est la personnalité, est toujours une source de mystère. Elle échappe à l'analyse du mental concret : elle révèle sa véritable identité au mental éclairé fusionné avec le coeur ouvert, qui ne cherche pas à posséder et à s'accrocher au progrès personnel, mais à exercer le pouvoir magique dans le service. Le pouvoir de l'âme est toujours disponible à celui qui cherche, tel un aspirant ayant accepté le sentier du disciple, afin de devenir un artisan pratique du service dans son propre état, sa propre époque et son propre environnement. »